Croissance Personnelle Croyances

L’ESTIME DE SOI

Chaque personne, chaque chose prit individuellement est belle en soi. Mais si je compare un chou à une pomme, je vais commencer à dénigrer le chou ou la pomme par rapport à l’autre. L’estime de soi, c’est la foi en soi, en notre potentiel et dans la réalisation de ce potentiel.

Si on fait une petite tournée dans le Larousse, on trouvera les définitions suivantes pour les mots:

  • estime” signifie : appréciation, opinion favorable qu’on porte sur quelqu’un ou quelque chose.
  • estimer” signifie : avoir une bonne opinion de quelqu’un, en reconnaître la valeur.
  • s’estimersignifie: se considérer, se croire.

L’estime de soi est en fait un jugement que l’on porte sur soi. On se considère ou l’on se croît de telle ou telle manière. Selon nos croyances, la manière dont on perçoit les choses, les expériences vécues etc.. Peuvent laisser place à un jugement positif ou négatif.

Généralement, parce qu’on nous l’a appris ainsi, on a tendance à se comparer à l’autre, pour se donner une valeur. Se comparer à l’autre, c’est comme comparer une pomme avec une banane. Chaque personne est unique, a vécu des situations différentes, réagit aux événements à sa manière. À chaque fois que l’on se compare à une autre personne, il y a de fortes chances que l’on se voit moins bien qu’elle.

Le Dr Mercola, signale dans sa “new letter” que des études ont démontrées que des phrases positives pouvaient avoir un effet négatif et entraîner un mal être chez la personne. Cet effet était plus marqué chez les personnes a tendance pessimiste.

La seule manière d’arrivée à se trouver bon et beau c’est de porter un jugement par rapport à soi. On regarde ce qu’on est maintenant, ce qu’on était dans le passé et les possibilités d’amélioration pour l’avenir.

Je vais me donner en exemple, j’ai connu durant les 8 premières années de ma vie, la lampe à l’huile, pour téléphoner, il fallait aller au village à 4 kilomètre de chez-moi. La TV, il y en avait pas chez-moi. J’ai commencé à la regarder à 22 ans quand j’ai pu m’en offrir une usagée. Aujourd’hui, j’ai le téléphone, l’électricité, la TV, l’ordinateur, et je fais même de l’internet. Je trouve que c’est toute une évolution en si peu de temps. Mais il m’en reste encore à apprendre et je prends les moyens pour y parvenir. Je trouve que pour mes 70 ans je m’adapte assez bien.

Quand on se compare à soi, et que l’on désire obtenir quelque chose que l’on aimerait, nous allons nous fixer des objectifs, et ensuite prendre les moyens et les actions qui s’imposent pour atteindre ce que l’on désire pour un futur plus ou moins à long terme. Cela procure chez-soi, une joie d’apprendre, et quand on a réussi on contemple avec bonheur le résultat et on poursuit sur une autre envolée. C’est merveilleux la vie !

Pensée un million de fois qu’on est beau, mais qu’on ne prend jamais la brosse et le peigne, qu’on ne se lave pas, que nos vêtements sont mal entretenus, on ne peut faire autrement que se voir comme “la chienne à Jacques” et trouver que l’autre à côté est beau. C’est à chacun de nous d’agir. C’est dans l’action que les choses changent. À compter de maintenant, fixez-vous des objectifs et premez les moyens pour les atteindre. Vous serez très fier de vous.

About the author

Chantal Lacroix

Je suis thérapeute en médecines douces depuis 1980. C'est la santé de mon fils, qui m'a ouvert à nouveau cette voie. À 20ans je m'étais inscrite à la faculté de médecine à Montréal ou j'ai fait 2 ans. J'ai du abandonner par manque de moyens financiers. Mais 20 ans plus tard, tout ce que j'ai appris en médecine m'a servi de nouveau.

À ma pratique d'acupuncture, j'ai greffé avec les années l'aromathérapie, l'homéopathie, la biologie totale ou "médecine nouvelle du Dr Hamer" et cela toujours dans la quête de trouver une solution pour la santé de mon fils. Un mois avant que je débute le cours en Biologie totale, mon fils est décédé d'un choc anaphylactique (allergie monstre aux arachides).
Avec ce cours, j'ai compris que les conflits biologiques non réglés des générations antérieures, ont une répercussion sur les générations suivantes. De plus cette approche m'a permis de constater, comme disait les médecins chinois de la Chine Antique, que les émotions sont la première cause des maladies.