Croissance Personnelle Croyances

COMMENT OPTIMISER LA CONFIANCE EN SOI

Développer sa confiance en soi est très à la mode de nos jours. Les uns préconisent la pensée positive, d’autres l’autosuggestion. Mais est-ce vraiment la clef pour optimiser la confiance en soi ? Peut-être que non !
Voilà, si on prend une pensée positive telle que « je suis capable de parler en public », et que vous y pensez mille fois dans la journée, avez-vous augmenter votre confiance en vous ? Non, car vous n’avez pas passé à l’action. Vous n’avez même pas osez dire bonjour aux personnes présentes dans l’ascenseur quand vous y êtes monté. Pourquoi ? Vous aviez peur de passer pour ridicule, ou de ne pas recevoir un bonjour et de vous faire regarder comme un extra terrestre et je ne sais quoi encore..! Pourtant vous vous êtes répétez mille fois que vous étiez capable de parler en public. C’était un public restreint, mais tout de même un public. Si vous êtes franc avec vous-même votre confiance en soi n’a pas bougé d’un cran. Au contraire, vous avez penché la tête en évitant tous les regards et vous avez filé dans le coin en vous moulant autant que possible à ce dernier pour ne pas être vu.

En fait :MILLE PENSÉES POSITIVES X ZÉRO ACTION POSITIVE = 0 DE CONFIANCE EN SOI.

Vous n’avez rien perdu de ce que vous êtes, mais vous n’avez pas avancé non plus. Vous êtes resté AU POINT MORT.

Mais qu’elle est la cause de ce manque de confiance en soi ? Si vous reculez à votre petite enfance, votre grand frère, votre grande sœur ou le petit voisin brillant étaient toujours mieux que vous selon vos parents. Il était impératif que vous leur ressembliez. Vos parents vous comparaient à quelqu’un d’impossible à atteindre, car chaque personne est unique et détient un potentiel unique qu’elle développe à sa propre manière. Vous étiez placé devant l’impossible, parce que vous ne pouviez et ne pourriez pas jamais devenir l’autre.

L’enfant qui est en mode de soumission face aux exigences irréalisables des parents, se trouve insignifiant, incapable, pas à la hauteur et finit par penser que les autres sont toujours mieux que lui. C’est ainsi que vous commencez à vous comparer à l’autre, et le résultat est néfaste. Vous vous trouverez toujours moins bon et moins beau que l’autre. En fait, vous auriez du vous comparer à vous même et voir l’amélioration acquise à la force de vos efforts et du temps que vous y avez mis. Tout le monde peut obtenir 100% mais le temps et les efforts sont différents pour chacun.Chacun a son rythme d’apprentissage et chacun a un niveau d’énergie qui lui est propre. On n’est pas pour autant insignifiant parce que nous n’arrivons pas en même temps que l’autre.

Pour revitaliser sa confiance en soi, il faut embarquer dans sa spirale à soi. Elle porte notre nom et personne d’autre ne peut l’emprunter. Vous êtes le seul maître à bord. Mettez-vous dans la tête que personne n’a la science infuse. Vous avez une période d’apprentissage où vous ferez des erreurs. Une révision rapide permettra de les corriger. Et à la fin du cursus, vous aurez 100%. Sachez qu’il n’y a rien d’extraordinaire à obtenir 100%, c’est tout simplement normal. Mais ce qu’il y a d’extraordinaire c’est que vous avez persévéré, vous vous êtes attelé à la tâche et vous avez réussi.

Fêtez-vous et soyez fier de votre réussite.Vous faites du 100% dans de nombreuses actions, mais vous l’ignorez parce que vous n’y attachez plus d’importance, c’est passé dans les gestes automatiques. Vous trouvez cela normal. Si nous prenons l’exemple suivant : si vous savez marcher et courir sans tomber c’est qu’il y a bien des lunes de cette performance d’aujourd’hui, vous avez expérimenté les fouilles et le plancher qui arrivait comme un bolide à votre figure. Mais vos parents, tous fiers de vos premiers pas, ne vous ont pas comparés à personne, au contraire, ils disaient : allez ! up! Debout! Tu vas y arriver. Et vous recommenciez avec le désir de réussir.Pour remonter votre confiance en vous, devenez donc ce papa et cette maman pour vous-même et dites-vous : allez !up ! Debout ! Et osez réessayer !!!

About the author

Chantal Lacroix

Je suis thérapeute en médecines douces depuis 1980. C'est la santé de mon fils, qui m'a ouvert à nouveau cette voie. À 20ans je m'étais inscrite à la faculté de médecine à Montréal ou j'ai fait 2 ans. J'ai du abandonner par manque de moyens financiers. Mais 20 ans plus tard, tout ce que j'ai appris en médecine m'a servi de nouveau.

À ma pratique d'acupuncture, j'ai greffé avec les années l'aromathérapie, l'homéopathie, la biologie totale ou "médecine nouvelle du Dr Hamer" et cela toujours dans la quête de trouver une solution pour la santé de mon fils. Un mois avant que je débute le cours en Biologie totale, mon fils est décédé d'un choc anaphylactique (allergie monstre aux arachides).
Avec ce cours, j'ai compris que les conflits biologiques non réglés des générations antérieures, ont une répercussion sur les générations suivantes. De plus cette approche m'a permis de constater, comme disait les médecins chinois de la Chine Antique, que les émotions sont la première cause des maladies.