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LE FERMIER QUI SE CROYAIT DIEU…

LE FERMIER QUI SE CROYAIT DIEU…

« En ce temps-là,  habitait sur terre.,un drôle de bonhomme, un fermier, il arriva et dit à Dieu:

  •  “Écoute, mon vieux, tu as peut-être créé l’univers, mais tu n’es pas fermier. Je vais t’apprendre un peu.”
  • «Dis-moi !”, fit Dieu, (tout en souriant discrètement dans sa barbe).
  •  “Donne-moi un an, dit le fermier, et fais comme je te dis. Tu vas voir: finie la pauvreté!”

Pendant un an, Dieu accorda au fermier tout ce qu’il voulait.

Plus de tempête, plus de foudre, plus aucun danger pour le bétail.

C’était le grand confort. Le blé poussait dru.

Si le fermier voulait du soleil, il faisait soleil; s’il voulait de la pluie, il pleuvait autant qu’il voulait. Cette année-là, tout arriva à point.

Le blé poussait tellement haut que le fermier alla trouver Dieu et lui dit

  •  “Regarde mon vieux. Encore dix ans comme ça et il y en aura assez pour nourrir tout le monde sans que personne ne travaille!”

Mais lorsqu’on fit la récolte, il n’y avait rien à l’intérieur des grains de blé.

Des cosses vides. De l’air. Le blé, qui avait poussé si haut, ne contenait rien.

Surpris, le fermier demanda à Dieu ce qui s’était passé.

  •  “Parce qu’il n’y avait ni défi, ni conflit, ni friction, parce que tu as évité tout ce qui était mauvais, le blé n’a pas pris de force.

Il faut toujours se battre un peu. Il faut la nuit entre les jours. La tempête, la foudre, le tonnerre, il en faut.

Ils secouent l’âme du blé”. »

AUTEUR INCONNU

N.B. Se texte m’a été fournit par Christine Tessier de Facebook

About the author

Chantal Lacroix

Je suis thérapeute en médecines douces depuis 1980. C'est la santé de mon fils, qui m'a ouvert à nouveau cette voie. À 20ans je m'étais inscrite à la faculté de médecine à Montréal ou j'ai fait 2 ans. J'ai du abandonner par manque de moyens financiers. Mais 20 ans plus tard, tout ce que j'ai appris en médecine m'a servi de nouveau.

À ma pratique d'acupuncture, j'ai greffé avec les années l'aromathérapie, l'homéopathie, la biologie totale ou "médecine nouvelle du Dr Hamer" et cela toujours dans la quête de trouver une solution pour la santé de mon fils. Un mois avant que je débute le cours en Biologie totale, mon fils est décédé d'un choc anaphylactique (allergie monstre aux arachides).
Avec ce cours, j'ai compris que les conflits biologiques non réglés des générations antérieures, ont une répercussion sur les générations suivantes. De plus cette approche m'a permis de constater, comme disait les médecins chinois de la Chine Antique, que les émotions sont la première cause des maladies.