Croissance Personnelle

L’instinct de survie stimule la créativité

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Les oliveraies plantées dans le désert produisent une huile d’olive  de 14 à 20 fois plus concentrée en antioxydant d’après une lettre de Néo-Nutrition. C’est un nectar !

Pourquoi ?

Quelle est la raison que les oliveraies du désert se démarquent autant de celle de la Grèce, d’Espagne ou de l’Italie ?

La raison en est bien simple. Elles souffrent. Elles souffrent de la chaleur émise par la fournaise désertique : 53 degré Celsius. Elles n’ont presque jamais de pluie, le sol est rocailleux et difficilement pénétrable par les racines. De plus, la production en huile d’olive est vraiment inférieure à leurs cousines de la Méditerranée. Mais ce qu’elles perdent en quantité elles le gagnent en qualité, soit 14-20 fois plus de super antioxydants.

Instinct de survie

Les plans d’oliviers sont des êtres vivants comme nous les humains. Dans le désert, ils vivent un stress de survie énorme. Chaque plant frôle la mort par déshydratation. Le « cerveau » de la plante, dont le rôle est d’assurer sa survie, lui ordonne de produire des quantités folles de polyphénols pour assurer la survie de sa semence et ainsi des descendants. Voici sa constitution selon Néo-Nutrition :

  • 73% d’acides gras mono-insaturés
  • 13.8% d’acides gras saturés
  • 9.7% d’acides gras oméga-6 (polyinsaturés)
  • 0.76% d’acides gras oméga-3 (polyinsaturés)
  • 75 % des apports journaliers recommandés en vitamine K
  • 72% des apports journaliers recommandés en vitamine E

Une leçon de survie

Ces oliviers en plus de donner à l’humanité un élixir aussi puissant, nous donne une belle leçon de survie, de courage. Tant qu’il y a de la vie, on vit!

Ces oliviers au lieu de se mettre en apoptose, décide de faire face à la musique en se servant du brûlant soleil, pour produire une quantité phénoménale de polyphénols pour assurer ainsi la survie de leur descendance et la leur. Comme dit un proverbe : Ce qui ne tue pas, rend plus fort !

C’est quand on est acculé à une situation bien précise et que l’on droit trouver une solution, que notre créativité se réveille.

L’adversité est là pour nous aider à produire le meilleur de nous. Les « inondés » qui avant la catastrophe, étaient indifférents les uns aux autres et se servant de leur cellulaire comme écran , l’eau a permis de les rapprocher, de s’entre ’aider et de découvrir la bienveillance chez ces humains. C’est leurs polyphénols.

Zone de confort

Osons sortir de notre fausse « zone de confort » pour devenir l’être exceptionnel qui sommeille en chacun de nous.

N.B.Je suis toujours heureuse de lire vos commentaires que vous ayez aimé ou 
    non. Alors…

 

 

About the author

Chantal Lacroix

Je suis thérapeute en médecines douces depuis 1980. C'est la santé de mon fils, qui m'a ouvert à nouveau cette voie. À 20ans je m'étais inscrite à la faculté de médecine à Montréal ou j'ai fait 2 ans. J'ai du abandonner par manque de moyens financiers. Mais 20 ans plus tard, tout ce que j'ai appris en médecine m'a servi de nouveau.

À ma pratique d'acupuncture, j'ai greffé avec les années l'aromathérapie, l'homéopathie, la biologie totale ou "médecine nouvelle du Dr Hamer" et cela toujours dans la quête de trouver une solution pour la santé de mon fils. Un mois avant que je débute le cours en Biologie totale, mon fils est décédé d'un choc anaphylactique (allergie monstre aux arachides).
Avec ce cours, j'ai compris que les conflits biologiques non réglés des générations antérieures, ont une répercussion sur les générations suivantes. De plus cette approche m'a permis de constater, comme disait les médecins chinois de la Chine Antique, que les émotions sont la première cause des maladies.