Dans le chapitre trois, le sage commence à ouvrir nos yeux sur ce que devrait être notre manière d’être. Dure leçon que sert le sage à l’empereur.
Souvent, on désire que les choses, les gens soient autre chose que ce qu’ils sont. Pourquoi avons-nous de telles exigences envers les gens et les choses ? Pour qu’ils nous apportent le Bonheur ? Ou ce que l’on croit qui va nous rendre heureux ?
Au cours de l’évolution l’homme a finalement réussi à se mettre debout « l’homo erectus », mais il n’a pas encore réussi à détacher son regard de son nombril !
Si nous acceptions les êtres pour ce qu’ils sont, sans exiger d’eux qu’ils soient autres choses qu’ils sont, il y aurait des changements fulgurants sur la planète.
César, l’homme qui parle aux chiens, dit aux maîtresses éplorées et en deuil de leur précédent toutou, ne demandez pas à Brutus d’être Beauty. Acceptez-le pour ce qu’il est. Il sent votre énergie et il est découragé et dépressif, car il n’arrivera jamais à être Beauty.
Dès que la madame change sa manière de voir Brutus, et de l’accepter pour ce qu’il est, il se crée devant nos yeux une belle énergie entre le chien et sa maitresse et tous les autres chiens du quartier. Car enfin, chacun a sa place.
Si cela se produit avec les chiens, essayez d’imaginer ce que cela pourrai-être avec les humains. Je crois que toutes les cloches de la terre sonneraient en même temps !
Bonne réflexion !utilisecequetues_ch3