Croissance Personnelle

BILLY ET LES POMPIERS DE TERREBONNE

C’est l’une de ces histoires vraie qui vient vous retourner le cœur car elle est remplie d’amour .Cette histoire m’a vraiment touché et je vous l’offre pour la grande période d’amour qu’est Noël.

Cette histoire se passe à l’hôpital Le Gardeur de Repentigny . Une mère de 26 ans, Catherine regardait son fils Billy, 6 ans, qui se mourait de la leucémie. Bien que son cœur soit rempli de tristesse, Catherine ressentait également un fort sentiment de détermination. Comme n’importe quel parent, elle aurait tant voulu que son fils puisse grandir et accomplir tous ses rêves. Mais elle savait que maintenant ce n’était plus possible. La leucémie y verrait très bientôt. Malgré le temps qui la pressait, elle désirait au plus haut point, la réalisation de l’un des rêves de son fils.

À cet instant, Catherine prit la main de son fils et tendrement lui demanda:

Unknown Object–  Billy, as-tu déjà pensé à ce que tu deviendrais une fois grand ? As-tu jamais rêvé et souhaité ce que tu ferais dans la vie ?

et Billy lui répondit:

-Maman, j’ai toujours voulu être un pompier lorsque je serai grand.

La maman lui rendit son sourire et lui dit:

-Voyons maintenant si nous pouvons faire quelque chose pour que ton souhait se réalise.

Plus tard, ce même jour elle se rendit au Service des Incendies local à Terrebonne. Mais, a mi chemin, elle rencontra Paul, un gars avec un cœur aussi grand que Terrebonne et Repentigny compris. Il connait le chef des pompiers de Terrebonne. Catherine s’empresse de lui raconter le souhait final de son fils. Elle lui demanda s’il serait possible de faire monter son fils sur une pompe incendie et de lui faire faire le tour du quadrilatère. Paul alla immédiatement rencontrer le chef des pompiers, René, et discuta avec lui du rêve de Billy . René, un gars sensible et intègre. Il était d’emblé d’accord pour réaliser le rêve de Billy, et dit:

– Regardez, nous pouvons faire mieux que cela. Si son fils pouvait être disponible pour sept heures mercredi matin, nous le nommerions pompier honorifique pour la journée entière. Il pourra descendre à la station, manger avec nous, sortir avec nous lors des appels de feu et expérimenter tout ce que comporte une journée dans la vie d’un pompier! De plus, si vous nous donnez sa taille et pointure de chaussures, nous obtiendrons un véritable uniforme de pompier pour lui, avec un vrai chapeau de pompier , pas un jouet, avec l’emblème du département de feu de Terrebonne dessus, un imperméable jaune comme nous portons et les bottes en caoutchouc.

Trois jours plus tard, Paul alla chercher Billy, l’habilla dans son uniforme de pompier tout neuf et fait à sa taille. Il le porta de son lit d’hôpital jusqu’au camion de pompier .Billy a pu s’assoir sur l’arrière du camion et aider les pompiers à le ramener à la station incendie.

Il était au ciel, fou de joie! Durant la journée, Il y eut 2 appels au feu provenant de Lachenaie. Billy a sorti à chacun des deux appels. Il est monté dans les différentes pompes incendie, le fourgon des infirmiers, et même la voiture du chef René.

En voyant son rêve de devenir pompier se réaliser avec tant d’amour et d’attention de la part des pompiers de Terrebonne, Billy profondément touché, survécu trois mois de plus contre toutes les prévisions et tous les espoirs des médecins.

Une nuit ,tous les signes vitaux de Billy commencèrent à chuter. Les infirmières, Sonia et Diane, qui croyaient que personne ne devrait mourir seul, elles appelèrent les membres de la famille pour qu’ils soient au chevet de Billy. C’est alors qu’elles se rappelèrent le jour où Billy avait agit en tant que pompier. Elles appelèrent le chef René des incendies et lui demandèrent s’il serait possible d’envoyer un pompier dans son uniforme à l’hôpital pour être avec Billy lors de sa transition vers un autre monde. Le chef a répondu:

– Nous pouvons faire mieux que cela. Nous serons là dans cinq minutes. Sil vous plaît me feriez-vous une faveur ? Quand vous entendrez les sirènes et verrez les lumières clignoter, vous annoncerez à travers le système d’appel de l’hôpital qu’il n’y a pas de feu et que ce n’est pas non plus un exercice d’évacuation. Vous leur direz que c’est le département d’incendie qui vient voir une dernière fois l’un de ses meilleurs membres. Je vous demanderais également d’ouvrir la fenêtre de sa chambre.

Environ cinq minutes plus tard un crochet et un camion échelle arrivaient à l’hôpital. Les pompiers prolongèrent l’échelle jusqu’à la fenêtre ouverte du troisième étage où se situait la chambre de Billy. Seize sapeurs-pompiers montèrent en haut de l’échelle et s’enfilèrent par la fenêtre pour pénétrer dans la chambre de Billy. Avec la permission de Catherine, mère de Billy, les pompiers l’étreignirent et le serrèrent dans leurs bras tout en lui disant combien ils l’aiment. Avec un souffle de mourant, Billy a levé les yeux vers le chef et lui dit:

– Chef, suis-je vraiment un pompier maintenant ?

Le chef René lui dit:

-Billy, tu l’es, et le chef princip al, Jésus, te tient par la main.

Sur ces mots, Billy a souri et répondit dans un souffle:

-Oui je sais, il a tenu ma main toute la journée.

Et Billy ferma les yeux, une dernière fois.

Les histoires qui élèvent nos âmes sont les meilleurs cadeaux que nous pouvons recevoir. Je vous fais cadeau de ces beaux gestes d’amour de la part de maman Catherine, de l’ami Paul, du chef pompier René et de ses seize sapeurs pompiers, de Sonia et Diane et des membres de la famille de ce petit ange Billy.

Quel bel espoir que tu mets dans nos cœurs, Billy. À 6 ans tu as su réalisé ton rêve qui était irréalisable pour les adultes que nous sommes. Avec tous les amis de ta mère au cœur si grand, tu es parvenu à être un pompier! Bravo!

Mes vœux de Noël pour cette fin d’année et pour la Nouvelle Année 2010, sont que vous puissiez réaliser tous vos rêves d’enfant comme a su le faire Billy. Je vous souhaite de plus de l’AMOUR provenant de vos maman et papa, de vos frères et sœurs, de vos amis et amies, de votre moitié, de vos collègues de travail, de vos supérieurs et de tous ceux et celles que j’ai pu oublier.

About the author

Chantal Lacroix

Je suis thérapeute en médecines douces depuis 1980. C'est la santé de mon fils, qui m'a ouvert à nouveau cette voie. À 20ans je m'étais inscrite à la faculté de médecine à Montréal ou j'ai fait 2 ans. J'ai du abandonner par manque de moyens financiers. Mais 20 ans plus tard, tout ce que j'ai appris en médecine m'a servi de nouveau.

À ma pratique d'acupuncture, j'ai greffé avec les années l'aromathérapie, l'homéopathie, la biologie totale ou "médecine nouvelle du Dr Hamer" et cela toujours dans la quête de trouver une solution pour la santé de mon fils. Un mois avant que je débute le cours en Biologie totale, mon fils est décédé d'un choc anaphylactique (allergie monstre aux arachides).
Avec ce cours, j'ai compris que les conflits biologiques non réglés des générations antérieures, ont une répercussion sur les générations suivantes. De plus cette approche m'a permis de constater, comme disait les médecins chinois de la Chine Antique, que les émotions sont la première cause des maladies.