Consommer du poisson cru augmente l’absorption de mercure, mais, si votre repas de sushis est accompagné d’une tasse de thé ou de café, l’exposition au mercure est réduite de 50 à 60 %.
Si vous faites bouillir le poisson, le taux de mercure diminue de 40% ; si vous le faites frire, il est réduit de 60 %. L’effet combiné de ces méthodes de cuisson et de ces boissons annule pour ainsi dire la bio accessibilité du mercure, selon la recherche du doctorant Ousséni Ouédraogo, dirigé par Marc Amyot au Département de sciences biologiques. »
Tiré de la revue Les Diplômés de l’Université de Montréal, printemps 2012