Ce majestueux poisson qui fraie dans nos rivières et qui le temps venu entreprend un voyage extraordinaire vers l’océan Pacifique ou Atlantique goutera des années de liberté pour revenir mourir dans sa rivière qui l’a vu naître, pour le saumon du Pacifique ; pour le saumon de l’Atlantique il viendra déposer ses œufs dans la même rivière qui l’a vu naître et repartira pour un autre voyage.
Aujourd’hui l’industrie des apprentis et mauvais sorciers a décidée d’un autre sort pour ce saumon. Il est devenu un saumon d’élevage.
On le parque dans des enclos, comme on parque nos vieux, et il est nourrit de soya, de litière de volaille et de plumes de poulets hydrolysée.
De plus, pour qu’ils survivent à l’entassement, ces saumons seront aspergés de pesticides, tels que de la dioxine et du DDT. On nous fait accroire que le DDT n’est plus utilisé car trop toxique, mais il est toujours présent.
Avez-vous pensé quelles mémoires ces saumons esclaves peuvent nous transmettre ?
Si les travaux sur la mémoire de l’eau du Japonais Masaru Emato s’appliquent également à tout ce qui est vivant, ce que la chair de ces saumons peuvent nous transmettre n’est pas de tout repos:
- Mémoire d’esclavage,
- perte de territoire,
- perte de libertédue,
- conditions inhumaines ou inanimales,
- guerre,
- toxines des produits chimiques
- dégradation des produits chimiques,
- etc..
Moi cela me fait frémir et vous ?