Croissance Personnelle Croyances

S’éveiller au bonheur !

 La plupart de mes patients sont restés scotchés au VENDREDI SAINT.

Pour eux, il faut souffrir, en arracher et en baver pour être sauvé.

Je me suis faite cette réflexion : le Christ n’a connu qu’UN vendredi saint ! Et pourtant, toutes ces personnes souffraient moralement et physiquement parfois à l’année longue. Unknown ObjectC’était un vendredi saint perpétuel, de durée illimitée.

La plupart se soumettait à ces souffrances pour sauver quelqu’un, mais jamais eux-mêmes, ou bien il endurait leurs souffrances dans l’espoir d’un jour meilleur dans l’éternité. “Pour gagner leur ciel”, comme ils disaient.

L’enseignement du Christ ne nous a pas exhorté au malheur et à la souffrance. Au contraire, il nous parlait d’Amour et tout cela devait commencer par soi. Le Christ parlait avec le « je ». Si vous appreniez à parler avec le « je » , votre vie serait différente. Mais vous parlez toujours avec le « on ». Le « on » est un pronom non identifiable, il est indéfini. Puis-je imputer une responsabilité à « on » ? – non ! Mais à « je » – oui ! On dit souvent que le « on » exclut la personne qui parle. Donc le « on » désigne le vis-à-vis. Ce ou cette “vis-à-vis” est le responsable de votre bonheur et par voie de conséquence de votre malheur. C’est ce ” vis-à-vis “qui doit faire l’effort à votre place et vous apporter votre bonheur sur un plateau d’argent.

Le Christ tout au long de sa vie n’a pas attendu après « on » pour faire son bonheur. Il vivait sa vie comme il l’entendait. Il aimait enseigner,Il enseignait; Il voulait médité ou prié, Il méditait et priait; Il voulait du bon vin, Il se faisait du bon vin. Il avait des opinions différentes des Grand Prêtres, Il leur en faisait part, même si cela pouvait les déranger. Il utilisait toutes les ressources qu’ils avaient en Lui.

Croyez-vous que vous êtes dépourvus de potentiel ? Non ! Vous avez autant de ressources, il s’agit de faire l’effort de les sortir de votre bagage. Voyez comment il traitait les malades qui venait à Lui. Il leur demandait : As-tu la foi de guérir ? Les personnes qui répondaient – oui, devaient se prendre en main et accomplir une action de guérison pour l’obtenir . Les personnes qui ont douté de leur pouvoir de guérison et qui attendaient que le Christ les guérissent, s’en retournait avec leurs maladies. Comptez les guérisons rapportées par les écrits évangéliques, il n’y en a pas beaucoup !

À l’époque du Christ, ils attendaient un Sauveur tout comme vous aujourd’hui, vous attendez un Sauveur, au lieu de vous sauver vous même avec tout le potentiel qui sommeille en vous. « On » attend. Cette phrase est la source de tous vos mal-êtres.

« Attendre » c’est être privé de ce que vous désirez. Êtes-vous des anesthésiés en ce qui a trait à votre bonheur ? Je crois que nous le sommes tous plus ou moins. Le dimanche de Pâques, les prédicateurs nous disent de vivre comme des « ressuscités ». J’ai été voir la racine de ce mot dans le Petit Larousse. Ce mot « ressuscité » vient du mot latin « ressuscitare » qui signifie « réveiller ». Ouf ..!..! Ce fut une révélation pour moi ! et.. pour vous ?

About the author

Chantal Lacroix

Je suis thérapeute en médecines douces depuis 1980. C'est la santé de mon fils, qui m'a ouvert à nouveau cette voie. À 20ans je m'étais inscrite à la faculté de médecine à Montréal ou j'ai fait 2 ans. J'ai du abandonner par manque de moyens financiers. Mais 20 ans plus tard, tout ce que j'ai appris en médecine m'a servi de nouveau.

À ma pratique d'acupuncture, j'ai greffé avec les années l'aromathérapie, l'homéopathie, la biologie totale ou "médecine nouvelle du Dr Hamer" et cela toujours dans la quête de trouver une solution pour la santé de mon fils. Un mois avant que je débute le cours en Biologie totale, mon fils est décédé d'un choc anaphylactique (allergie monstre aux arachides).
Avec ce cours, j'ai compris que les conflits biologiques non réglés des générations antérieures, ont une répercussion sur les générations suivantes. De plus cette approche m'a permis de constater, comme disait les médecins chinois de la Chine Antique, que les émotions sont la première cause des maladies.