Peut-être que vous n’auriez plus besoin d’antidépresseurs, d’anxiolytique, ou autres pilules du même acabit. Il y a plusieurs années j’ai lu Le Mal du Sucre de Danièle Starinshy et c’est suite à cette lecture que j’ai enfin compris le mal qui me rongeait, quand j’ai commencé ma médecine.
Hypoglycémie
J’avais beau dire aux professeurs médecins que je ne me sentais pas bien. Ils me répondaient tu as les meilleures formules sanguines de la classe. Alors, où vois-tu le problème ?
À la fin de la lecture de ce livre j’ai enfin compris que je souffrais d’hypoglycémie.
Les personnes souffrant du « mal du sucre » il y e a des milliers. Les gros fumeurs, les buveurs de 10 cafés par jour, les alcooliques, les drogués sont autant d’hypoglycémique qui s’ignore.
L’antidépresseur ou l’anxiolytique que peuvent prendre ces personnes, va-t-il corriger quelque chose ? Absolument pas ! Il faut commencer par corriger son alimentation, mais ce n’est pas le docteur qui va vous le dire car il vit peut-être la même situation que vous. De plus, l’alimentation n’est pas sa tasse de thé. Il n’a pas le temps de s’en préoccuper et encore moins de l’enseigner à ses patients.
Légumineuses
Les aliments qui m’aidèrent à me remettre de ce déséquilibre métabolique, furent les légumineuses. Si vous en consommez ¼ de tasse matin et soir, elles maintiendront votre glycémie près de la normale pour 12 heures. Vos variations glycémiques auront moins d’écarts tout en bénéficiant d’un mieux-être.
Il faut également prendre de petites collations environ 2 heures après un repas. Elles seront composées d’un fruit avec noix (oléagineuses). Éviter les jus de toutes natures, les boissons gazeuses sucrées avec du vrai ou du faux sucre et tous les trucs sucrés. Éviter tout ce qui n’est pas préparé dans votre cuisine. Vous seul savez ce que vous mettez dans vos aliments. Mangez des céréales complètes dont les sucres lents se digèrent plus lentement.
Journal alimentaire et émotionnel
Quinze jours de ce régime, va vous permettre de constater des améliorations. Mais ce n’est pas encore le temps de commencer les sevrages de quoi que cela soit. Vous êtes encore trop fragile. Tenez un journal de tout ce que vous mangez et buvez et notez-y vos états d’âme qui suivent ce que vous avez ingéré. Vous allez ainsi cibler des aliments extraordinaires pour vous et d’autres qui vous font tout simplement flipper. Conservez à votre menu que les aliments qui vous donnent de l’équilibre, de la force et de la vigueur.