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Le roi et le jardin

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Le roi et le jardin

Voici un petit conte que j’ai pris du site de l’optimiste Michel POULAERT. Je m’excuse, je n’arrive pas à transférer directement sur Facebook.

Ce conte, nous dit d’une manière très simple, qu’il faut accepter ce que l’on est et le perfectionner et non pas essayer d’être un autre.

Il y avait un jour un roi qui avait planté près de son château toutes sortes d’arbres, de plantes et son jardin était d’une grande beauté.

Chaque jour, il s’y promenait : c’était pour lui une joie et une détente.

Un jour, il dût partir en voyage.

A son retour, il s’empressa d’aller marcher dans le jardin. Il fût surpris en constatant que les plantes et les arbres étaient en train de se dessécher.

Il s’adressa au pin, autrefois majestueux et plein de vie, et lui demanda ce qui s’était passé. Le pin lui répondit : « J’ai regardé le pommier et je me suis dit que jamais je ne produirais les bons fruits qu’il porte. Je me suis découragé et j’ai commencé à sécher. »

Le roi alla trouver le pommier : lui aussi se desséchait… Il l’interrogea et il dit : « En regardant la rose et en sentant son parfum, je me suis dit que jamais je ne serais aussi beau et agréable et je me suis mis à sécher. »

Comme la rose elle-même était en train de dépérir, il alla lui parler et elle lui dit : « Comme c’est dommage que je n’ai pas l’âge de l’érable qui est là-bas et que mes feuilles ne se colorent pas à l’automne. Dans ces conditions, à quoi bon vivre et faire des fleurs? Je me suis donc mise à dessécher. »

Poursuivant son exploration, le roi aperçut une magnifique petite fleur. Elle était toute épanouie. Il lui demanda comment il se faisait qu’elle soit si vivante. Elle lui répondit : « J’ai failli me dessécher, car au début je me désolais. Jamais je n’aurais la majesté du pin, qui garde sa verdure toute l’année; ni le raffinement et le parfum de la rose. Et j’ai commencé à mourir mais j’ai réfléchi et je me suis dit : « Si le roi, qui est riche, puissant et sage, et qui a organisé ce jardin, avait voulu quelque chose d’autre à ma place, il l’aurait planté. Si donc, il m’a plantée, c’est qu’il me voulait, moi, telle que je suis et, à partir de ce moment, j’ai décidé d’être la plus belle possible ! »

Anonyme.

About the author

Chantal Lacroix

Je suis thérapeute en médecines douces depuis 1980. C'est la santé de mon fils, qui m'a ouvert à nouveau cette voie. À 20ans je m'étais inscrite à la faculté de médecine à Montréal ou j'ai fait 2 ans. J'ai du abandonner par manque de moyens financiers. Mais 20 ans plus tard, tout ce que j'ai appris en médecine m'a servi de nouveau.

À ma pratique d'acupuncture, j'ai greffé avec les années l'aromathérapie, l'homéopathie, la biologie totale ou "médecine nouvelle du Dr Hamer" et cela toujours dans la quête de trouver une solution pour la santé de mon fils. Un mois avant que je débute le cours en Biologie totale, mon fils est décédé d'un choc anaphylactique (allergie monstre aux arachides).
Avec ce cours, j'ai compris que les conflits biologiques non réglés des générations antérieures, ont une répercussion sur les générations suivantes. De plus cette approche m'a permis de constater, comme disait les médecins chinois de la Chine Antique, que les émotions sont la première cause des maladies.